| Franz Liszt ou le rêve d'amour. Avec une lecture de Michael Lonsdale et au piano Nicolas Celoro. La prestation virtuose de Nicolas Celoro a complètement eclipsée les lectures du grand Michael Lonsdale qui ne nous a pas livré le meilleur de lui-même.
La voix plutôt monocorde et sans beaucoup de relief contrairement à son habitude (je ne parle pas de puissance.) |
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