ROMEO et JULIETTE

07 mars 2012

Originaires de deux clans ennemis, les Montaigu et les Capulet, l'idylle de ROMEO et de JULIETTE est voué à l’échec, et donc à la mort. Tout le monde connaît cette idylle.
Ce qui m'a frappé dans la mise en scène de Olivier PY c'est le noir comme couleur dominante :les personnages sont en noirs, les décors également.
Dans ces décors presque toujours en mouvement il y avait comme un côté lugubre bien souvent renforcé par ce que jouait le piano noir sur scène.
La traduction dans un language contemporain et quotidien des jeux de mots et sous entendus sexuels shakespeariens n'était-t-elle pas suffisante à la compréhension ?
Il faut croire que non puisqu'il a été besoin de mimer, entre autre situation, une copulation. Ces aspects étaient un peu grotesques.
Certains disent "tous les poncifs du théâtre moderne sont réunis : actes sexuels (hétéros et homos) mimés,"
"humour décapant à deux balles, décor minimaliste ...etc."
D'autres encore : "C'est racoleur comme "j'en ai une grosse et bien dure"
"Et tout à l'avenant."
Pour ma part je dirai que ce spectacle ne m'a pas charmé et ne m'a pas provoqué d'émotions malgré l"énergie déployée par les comédiens. Je n'ai pas adhéré et je suis resté comme 'en dehors'.
Est-ce qu'il est nécessaire de produire ce type de spectacle pour intéresser le jeune public fortement représenté ce soir là ?
Peut-être que oui pour coller à la réalité du quotidien actuel. C'est à voir !
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